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    Grandes VACANCES et TICE

    Les révisions des grandes vacances profitent aussi des TICE

    Les révisions des grandes vacances - on est dedans! - sont une règle pour les élèves à laquelle il vaut mieux ne pas déroger sous peine de perdre certains acquis de l'année scolaire venant de passer. Mais oui, voilà, c'est vrai que si en grandissant en comprend que cela est dans notre intérêt, cela reste difficile à faire comprendre aux plus jeunes. Pourquoi cette difficulté ? Sans doute, par ce que s'asseoir à table devant un cahier à remplir est quelque peu « barbant » et donne parfois l'impression d'effectuer une punition. La célèbre marque Passeport et son éditeur Avanquest Software l'ont bien compris et ont donc commencé à proposer de nouvelles solutions pour réviser de façon plus ludique.

    Solution 1 : Réviser à l'aide de son ordinateur

    passeport gamme.gif

    Passeport a pour devise « apprendre tout en s'amusant » et explore donc de nouvelles pistes pour que côté ludique reste prédominant. Alors la solution peut être la plus évidente qui a tout d'abord été choisie est d'utiliser l'outil informatique pour rendre les révisions plus attrayantes. passeport ecran pc.gifLa gamme Passeport se retrouve donc en cédéroms s'installant aussi bien sur pc que sur mac. On y retrouve pour chaque niveau : les notions essentielles du programme, des aides mémoires, des quizz pour tester ses connaissances et un tableau de bord qui permet de suivre la progression de l'élève. Et suivant les niveaux classés, des bonus adaptés sont proposés. Ainsi par exemple, des histoires multimédia à lire ou à se faire raconter, des carnets de route pour collection découvertes et cartes postales... Le tout pour moins de 8 euros. Une première version multimédia qui est donc abordable et qui a un prix s'approchant de la version papier.

     

    Mais bon, voilà, tout le monde n'a pas un ordinateur portable de petite taille à transporter sur son lieu de vacances, alors Passeport propose également une autre possibilité pour travailler ses acquis...

     

    Solution 2 : Utiliser sa Nintendo DS

    Et de même que pour les cahiers de vacances papier ou que pour les logiciels, les programmes proposés sur Nintendo DS s'appuient sur les instructions officielles de l'Education Nationale et sont conçus avec des équipes de pédagogues pour garantir la qualité de l'entraînement. Et grâce au support Nintendo DS et à son stylet, c'est des programmes riches, ludiques, très interactifs et conviviaux qui sont proposés et qui utilisent le plus souvent de simples clics ou des glisser-déposer. Petite démonstration avec la vidéo ci-dessous.

     

    Et parce que la Nintendo DS est également associée au jeu, l'élève gagne l'accès à des activités surprises pour chaque série de 5 exercices scolaires effectuée. Alors au programme on retrouve : « des histoires à lire présentées sous la forme d'un livre dont on tourne les pages en soufflant sur la console », de petits jeux d'éveil comme le pendu, des quizz, des jeux de mémoires, d'adresse... Et le bonus, c'est que ces jeux sont également conçus de façon à ce que les plus jeunes puissent défier leurs parents : la bonne humeur et la convivialité sont donc au rendez-vous.

    passeport site.gifPar contre, les niveaux disponibles ne sont pas aussi variés que sur le support papier ou cédérom. Travailler sur Nintendo DS c'est possible mais qu'entre le CP et la sixième

    Vous pouvez acquérir chaque cartouche pour moins de 30 euros.

    Pour plus de renseignements vous pouvez consulter le mini-site dédié à l'univers Passeport sur Nintendo DS en cliquant ici. Vous y retrouverez chaque spécificité liée au niveau choisi.

     

    Alors à vos devoirs de vacances car cet été, pas d'excuses... Et pour les pressés, pas de problème, vous pouvez commencer à réviser dès maintenant : il n'y a pas de mal à se faire du bien !

    , .497.,

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    Le bras de fer entre le monde politique et enseignant se poursuit...

    Avec l'approche de la fin de l'année scolaire et le contexte politique axé sur les réformes, on est en droit de se demander si le bras de fer qui est actuellement soutenu entre le monde politique et enseignant s'écroulera avec le début des vacances scolaires. Retour sur la réforme, l'opposition du monde enseignant et les conséquences que risquent de subir les élèves.

     

    La réforme du monde enseignant en pleine polémique...

    Le président Nicolas Sarkozy a promis une réforme de l'enseignement supérieur s'il était élu et il l'a donc lancé par l'intermédiaire de Xavier Darcos, ministre de l'éducation nationale et Valérie Pecresse, Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche. C'est donc reparti pour un tour sur un sujet où de nombreux gouvernements se sont déjà cassés les dents...

    Objectif principal pour cette réforme : rendre les universités autonomes. L'autonomie que veut voir se mettre en place le gouvernement est à la fois financier, administratif, gestion des bâtiments...

    Ce qui est plutôt une bonne intention mais alors où est le problème ? C'est que cette autonomie de l'université par rapport à l'Etat doit être compensée par un autre moyen car c'est bien connu l'argent ne tombe pas du ciel et sans rentrées d'argent, les universités à l'image des autres institutions ne peuvent pas fonctionner.

    Et c'est là que le mécontentement voit le jour puisque la solution proposée est la privatisation des universités ou comme diront les opposants à cette réforme « mettre l'université au service des intérêts des capitalistes » puisque les universités devront nouer des partenariats financiers avec des partenaires qu'ils choisiront et qu'ils auront préalablement déniché.

     

    Quelles sont les principales peurs du monde de l'enseignement supérieur ?

    De voir se réduire la démocratie qui existe actuellement à l'intérieur des universités puisque les changements administratifs modifieront par exemple la composition du Conseil d'administration. En effet, au fur et à mesure que des éléments extérieurs prendront racine dans l'université, ils prendront également de plus en plus de place au sein de ce dît conseil, places attribuées auparavant à des élèves, professeurs, personnels techniques... Ce qui prend toute son importance quand on sait que c'est ce conseil qui décide de la politique menée par l'école.

    De voir les entreprises avoir la main mise sur les programmes. L'université devra répondre aux besoins immédiats des entreprises en formation sans bénéficier d'un certain recul puisque ce recul pourrait très bien se traduire financièrement.

    De voir le statut même du personnel changé. Alors qu'actuellement les professeurs sont des fonctionnaires et à ce titre protégés, ils pourront être engagés désormais comme n'importe quel salarié en CDI.

    Alors c'est pour toutes ces inquiétudes que manifestations et blocages sont apparus au sein des universités. Je vous propose de visionner une vidéo où un professeur explique pourquoi il fait grève.

     

    Quelles conséquences pour les élèves ?

    Les blocages des universités ne semblent pas de résoudre partout avec une opposition qui semble toujours tenir le coup. Alors même si dans les universités les élèves ont des avis partagés, le constat est le même : avec les blocages d'universités qui perdurent ce sont les cours qui s'arrêtent totalement... Ce sont donc la date des examens qui est remise en question.

    En effet, si les salles d'examens étaient débloquées à temps, c'est la question du programme qui se poserait. Le temps d'enseignement ayant été réduit, ce sont la possibilité des sujets d'examens qui seraient trop réduits et les examens pourraient donc délivrés des diplômes ayant une valeur moindre que les années précédentes. La solution pourrait donc venir d'un report des examens pendant l'été ou à la rentrée...

    Qu'en pensez-vous ? Votez  en utilisant le sondage mis à votre disposition sur le côté gauche !

     

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    Quand Facebook s'invite à l'école et crée la polémique

    Avec près de 175 millions d'utilisateurs (chiffre indiqué par le site), Facebook continue de rassembler de plus en plus de monde sur son réseau social. Et forcément avec autant d'utilisateurs, on retrouve facilement les personnes que l'on connaît : amis, collègues de travail, famille... mais également professeurs et élèves peuvent être amené à se rencontrer sur le réseau. Et cela crée la polémique !

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    Elève et professeur peuvent-il être amis sur Facebook ?

    Les nouvelles technologies, le multimédia sont présents de plus en plus dans le quotidien de l'enseignement. Et pas seulement le matériel, les habitudes de navigation sur le web et les réseaux sociaux font également leur apparition de façon naturelle. Et Facebook n'échappe pas à la règle : tout comme on envoie à ses amis, à sa famille, aux membres de sa classe, une demande pour devenir ami sur Facebook, des élèves ont envoyé une demande à leur professeur. Mais est-ce déontologique ? Et entre déontologie et liberté d'expression, quels sont les limites ?

    Facebook étant utilisé dans de nombreux pays - Internet oblige - la question s'est déjà posée notamment aux Etats-Unis, dans l'état du Mississipi ainsi qu'en Belgique. Et à chaque fois que le cas se présente, la polémique s'empare du sujet.

    Aux Etats-Unis, l'établissement a purement et simplement interdit aux professeurs d'accepter les invitations de leurs élèves. La raison évoquée par l'école Lamar County est que « ces relations outrepassent la démarcation entre contacts professionnels et personnels ». En Belgique, la réponse donnée par l'établissement a été identique.

     

    La liberté d'expression au cœur du débat

    Mais est ce que ces demandes d'amis sont à considérer comme faisant partie de la vie privée ou de la vie professionnelle ? C'est tout le débat. Si tout ce qui se passe sur Facebook est à considérer comme appartenant à la vie privée, les établissements ne peuvent interdire à leurs professeurs d'avoir des élèves parmi leurs amis. En effet, une communication électronique privée est du domaine de la vie privée et comme le phénomène est récent, aucun texte n'est présent sur ce sujet dans les législations des différents pays pour indiquer de façon claire et précise l'attitude à adopter.

    Les établissements font donc leurs recommandations mais peuvent se faire rattraper par la liberté d'expression. Ainsi l'établissement belge qui avait interdit aux professeurs d'avoir des élèves en amis sur Facebook s'est fait rappelé à l'ordre par les instances supérieures qui ont cassé cette interdiction. Et voici ce qu'a déclaré Annie Toulet, députée provinciale (PS) qui a s'occupe de mettre en place L'école  du futur en Belgique : « On ne peut interdire, légalement, aux profs d'avoir comme amis certains de leurs élèves sur Facebook. Tout au plus peut-on leur rappeler les règles déontologiques inhérentes à leur profession. Chaque enseignant est donc libre d'agir en son âme et conscience. Facebook relève de la sphère privée et il ne nous appartient pas d'intervenir. »

    A noter que dans ce cas précis, les élèves n'avaient en effet pas compris la décision de l'école.

     

    Mais tout n'est pas rose sur Facebook entre profs et élèves

    Facebook permet aussi des dérives. En effet quand les élèves n'ont aucune envie de devenir « amis » avec leurs professeurs ou autres membres de l'enseignement, certains élèves franchissent les limites :

    -  Ils créent des groupes militant pour le renvoi des professeurs. C'est ce qui s'est passé en Belgique récemment. 70 élèves ont rejoint le groupe et en retour ont été sanctionné par une heure de colle. Et là encore, la sanction a crée la polémique. En effet, la fédération des étudiants libéraux (FEL) en Belgique a estimé que l'établissement n'avait pas à utiliser les informations délivrées par Facebook pour punir les élèves au nom du respect de la vie privée. Et c'est le ministre de l'enseignement belge, Christian Dupont qui devra trancher.

    -  Ils insultent leurs profs. Cette fois c'est en Angleterre qu'un groupe de jeunes filles s'est amusé à insulter un professeur mais apparemment sans se rendre compte de l'impact que peut avoir de simples commentaires postés sur Facebook. En effet, une des élèves a déclaré que c'était juste un jeu. Après que l'affaire est été portée devant le Conseil, les élèves se sont excusées.

     

     

    Bien heureusement, ce n'est pas à chaque fois le cas. Mais tant que la question des réseaux sociaux ne sera pas posée sur la table, la réponse ne sera pas évidente.

    Finalement la vraie question ne serait-elle pas comment faire pour utiliser Facebook comme un outil pédagogique. La réponse à cette question permettrait certainement de définir des relations saines et un enseignement encore plus efficace et complètement intégrer dans le quotidien des élèves.