Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

éducation nationale

  • Imprimer Pin it!

    Educastream, la solution des cours par vidéoconférence pour échapper à la grippe A

    Alors que la première classe sur Paris vient de fermer, le gouvernement est en train de tester des sites Internet de vidéoconférences pour trouver des solutions toujours plus performantes pour mieux apprendre. Et avec la grippe A qui menace de s'approcher à grand pas, Educastream se positionne comme étant une solution d'apprentissage anti-pandémique efficace contre la grippe et valorisante pour l'apprentissage. Qu'en est-il vraiment ?

    educastream.JPGEducastream mise sur la vidéoconférence


    Educastream a surtout été remarqué pour la qualité de ses cours de langue et l'intéractivité qu'il a su développer pour faire participer le maximum d'élèves dans un même cours. Pour cela il a choisi la vidéoconférence ce qui lui permet de proposer un service ne nécessitant pas un grand investissement pour les élèves. Avec juste une webcam, une connexion Internet, des enceintes, quelques micros sans fil ainsi qu'un vidéoprojecteur et un écran de projection pour les écoles, Educastream propose d'apprendre mieux et de façon plus intéractive. Pour les cours d'anglais par exemple, les intervenants choisis pour donner le cours sont des professeurs habitant en Angleterre. Les élèves sont ainsi directement plongés en Angletterre, avec des natifs leur parlant de la culture de l'Angleterre pour faire découvrir de nouveaux mots mais également les mettant dans les conditions dans lesquelles ils pourraient se retrouver réellement s'ils étaient sur place.

    Quelle différence avec le e-learning ?

    darcos.JPGCette fois, l'animation évolue en fonction des indications du professeur ce qui permet une intéractivité supplémentaie et surtout une plus grande efficacité du support. De plus, un professeur est toujours présent pendant le cours et peut donc adpater ce dernier aux besoins des différents élèves en prenant plus ou moins de temps sur les notions abordées. Avec cette méthode, c'est une invitation au voyage depuis sa salle de cours qui est proposée. Et l'élève n'est plus seul devant son écran en train d'apprendre mais réellement guidé !

    Alors à quoi ça ressemble concrètement ? Vous trouverez des vidéos démonstration en cliquant ici.

    Un site partenaire de l'Education Nationale

    drapeau.JPGLes programmes ont également été mis au point avec des experts et supervisés pendant 2 ans par l'Education Nationale pour une exacte conformité aux programmes mais également une optimisation de la méthode par rapport aux directives du gouvernement.C'est donc un site proposant une installation facile, des cours performants et le tout avec l'approbation de l'Education Nationale. On comprend dès lors beaucoup mieux pourquoi en cas de pandémie il pourrait devenir une solution de replis. Aujourd'hui c'est déjà 5000 élèves qui ont bénéficié de cette nouvelle façon d'apprendre dans leurs classes respectives. C'est une quinzaine de départements et plus de 25 villes et 150 écoles qui bénéficient aujourd'hui de cette nouvelle méthode d'apprentissage.

    La solution idéale pour la grippe A et pour l'avenir de l'école ?

    soutien.JPGContre la grippe A cela pourrait être une nouvelle façon efficace d'apprendre puisqu'elle permet aux élèves d'éviter de se déplacer et donc à la contagion d'arrêter de progresser sans aucun contrôle. Mais tous les cours aussi excellents qu'ils soient par vidéo conférence ne peuvent que difficilement remplacer l'Ecole. Car il n'y a pas que les cours mais c'est également la sociabilisation, la construction de l'individu qui se fait au contact des autres. Par contre, cette façon d'apprendre pourrait très vite devenir indispensable pour l'apprentissage des langues vivantes qui sont des matières bien particulières avec des besoins à part.

     

    Alors pour vous Educastream est-il réellement une solution antipandémique ?

  • Imprimer Pin it!

    Quelle légitimité pour Luc Chatel, nouveau ministre de l'Education Nationale ?

    Qui dit rentrée, dit Education Nationale. Il est donc grand temps d'aborder un sujet pas encore évoqué sur le blog : la nomination de Luc Chatel au poste de Ministre de l'Education Nationale. Bonne ou mauvaise chose ? Pourquoi avoir changé de ministre ? Est-il légitime ? C'est à toutes ces questions que je vais essayer d'apporter des premiers éléments de réponse.

    Réactions autour de la nomination de Luc Chatel

    lucchatel.jpgQui est Luc Chatel ? Sans doute la première question qui s'impose ! Depuis la fin du mois de juin 2009, il occupe le devant de la scène politique en étant ministre. Et le fait que sa nomination concerne l'Education Nationale n'est pas forcément évidente lorsqu'on regarde son parcours. Après des études de marketing et un poste chez l'Oréal, il s'oriente vers les ressources humaines tout en menant en parallèle une vie politique. Il n'a donc à priori aucune compétence particulière en ce qui concerne l'Education Nationale. Frederique Rolet, le secrétaire générale du syndicat SNES-FSU parle de Luc Chatel comme d'un "politique zélé, proche du président de la République, une personnalité très marquée du côté libéral".

    Et pourquoi changer le ministre à l'approche des grandes vacances ? Sans doute parce que le dialogue était de plus en plus difficile avec l'ancien ministre qui avait le poste. On a donc proposé à Xavier Darcos un nouveau poste, celui du Ministre du Travail. L'espoir de pouvoir de renouer le dialogue avec l'arrivée de ce nouveau ministre est donc important même si la situation dans laquelle il va devoir évoluer le minsitre n'est pas facile. En effet, Xavier Darcos laisse de nombreux problèmes non réglés lors de son départ. On retiendra surtout la suppresion des 16 000 postes pour la rentrée 2010.

    Ce qui est certain c'est qu'entre les problèmes non résolus laissés par Xavier Darcos, et l'actualité de la rentrée avec la grippe A, le nouveau ministre n'a pas le temps de s'ennuyer. Surtout qu'il est également le porte-parole du gouvernement et qu'il doit donc consacrer du temps à ces deux missions. Le nouveau ministre de l'éducation pourrait donc être un ministre de l'Education à temps partiel au moment même où les problèmes s'accumulent.

    Premier bilan de l'action de Luc Chatel

    - Il a donné son point de vue sur les désobéisseurs en indiquant que les programes sont faits pour le plus grand nombre et qu'en tant que salariés de l'Education Nationale le comportement des désobéisseurs n'est pas compatible avec l'Education Nationale et que les procédures en justice doivent donc être suivies.
    - La réforme de l'enseignement est ouverte à la discussion mais tout est fait dans le but d'améliorer les conditions de travail des enseignants. Des échanges sur ce projet sont prévues en septembre avec les syndicats.
    - Les suppresions de poste ne devraient pas être annulés et que le taux d'encadrement des élèves par les enseignants ne changera pas à la rentrée malgré ces suppresions de postes. Il précise également que ces suppressions de poste ne sont pas une surprise puisqu'ils font parti de la politque annoncée par le gouvernement.
    - Concernant la grippe A, un manque de dialogue semble avoir déjà été engagé car rien n'a été précisé aux enseignants sur la façon dont eux-mêmes aller être protégés du virus alors que la rentrée est là. Autant pour les enfants un véritable programme a été mis en place (voir l'article sur la grippe A) autant le personnel enseignant n'a pas reçu de consignes précises sur la façon dont eux-mêmes doivent se protéger.

     



    Ce qu'on peut donc dire c'est que si au niveau de son parcours, ce n'est pas la personne la plus légitime à ce poste, il a été choisi pour ces qualités de négociateur et sa facilité à faire naître le dialogue. L'avenir nous dira donc si ce choix est  judicieux d'autant plus que l'été lui a laissé le temps de découvrir les différents dossiers à disposition sur son bureau.

     

  • Imprimer Pin it!

    Et si la grippe A était le moyen d'apprendre autrement ?

    Une des actualités de la rentrée est sans conteste l'épidémie de grippe A qui pourrait bien nous menacer sérieusement et nous gâcher la vie. Alors face aux inquiétudes soulevées par la grippe A, le gouvernement se veut rassurant et sans trop en faire ne veut pas être accuser de ne rien faire. Alors bonne nouvelle pour tous les élèves, l'Education Nationale a tout prévu pour que ceux qui usent les bancs de l'école ne restent pas oisifs en cas de fermeture des établissements scolaires.

    Avant tout de la prévoyance pour éviter de fermer les écoles !

    gestes vs grippe.jpgLe gouvernent mise à tout point de vue sur la prévention et les mesures de sécurité pour faire face à la tempête que pourrait bien déclencher le virus de la grippe. Pour cela, des affiches sont distribuées dans les écoles pour rappeler les gestes essentiels pour éviter la grippe. Mais ce n'est pas tout ! Pour ceux qui seraient durs d'oreille c'est un rappel qui aurai lieu à la rentrée sous la forme d'une séquence d'information pour rappeler les bonnes habitudes à prendre. De plus, une campagne de vaccination devrait être mise en place dans le courant de l'automne pour prévenir tout danger. Oui mais voilà si toutes ces mesures de précaution ne suffisent pas, le gouvernenemt pourrait être bien obligé de fermer les établissements scolaires pour éviter que le virus ne se répande comme une trainée de poudre. Et dans ce cas que se passerait-il ? Les élèves se retrouveraient-ils en mode pause ?

     


    La technologie au secours des profs !

    Il est hors de question que le planning de l'Education Nationale s'aligne sur celui de la grippe alors tout a été prévu pour que les élèves puissent continuer à apprendre sans trop de gêne. Et cela pourrait bien même être amusant pour beaucoup d'élèves car la technologie vient au secours des profs et pourrait les remplacer sur cette période de contamination massive.
    La télévision et la radio pourraient être réquisitionnées pour diffuser des cours. Mais c'est surtout la diffusion de modules pédagogiques qui est intéressant avec des professeurs qui n'assureraient plus qu'une permanence pour permettre aux élèves de poser leurs questions si besoin et d'apporter sur les devoirs qui ont été fait un contrôle des connaissances.

    Ainsi c'est 264 heures d'enseignements qui sont prêtes à être diffusées sur France 5 et France Culture avec une répartition de 5h30 par jour sur 4 jours par semaine.
    De même, 288 heures de radios se tiennent prêtes à parer à toutes les éventualités ce qui représentent 6 heures par jour sur un rythme de 4 jours par semaine.


    Voici à quoi pourrait ressembler les cours de l'année à venir

     

     



    Quand Internet arrive en renfort et sur tous les plans !


    academieenligne.jpgL'éducation nationale mise également sur le site www.academie-en-ligne.fr, le site de ressources gratuites mise à disposition par le gouvernement. Des cours y sont proposés du CP à la Terminale en accès gratuit et pour le moment suivant les niveaux, les quelques matières proposées sont différentes.Ce n'est qu'à partir du 15 septembre que d'autres cours, à l'occasion de la rentrée, viendront enrichir les modules proposés puisqu'il ne s'agissait jusqu'à maintenant que de proposer de réviser pendant les grandes vacances, le programme suivi durant l'année scolaire.

    A disposition des français se sont également 5 sites qui sont proposés sur la toile pour combattre d'une façon plus générale le virus de la grippe :
    - www.pandemie-grippale.gouv.fr pour tout savoir sur l'évolution du virus et pour informer le grand public,
    - www.pandemie-grippale.gouv.fr pour savoir quoi faire dans la vie de tous les jours pour prendre le minimum de risques,
    - www.inpes.fr/grippeAH1N1/communication.html, le site de l'Institut National de Prévention et d'Education pour la Santé qui propose notamment de nombreuses supports de communication sur le virus à l'attention des enfants par exemple,
    - www.diplomatie.gouv.fr pour informer les étrangers de passage en France.

    Ce programme sera t-il suffisant ? L'avenir nous le dira !